Ma biographie

Ewii, avant de partir j'ai décidé d'écrire ma biographie version role play en implantant le plus possible de fait réel en jeu.

Ceux qui sont pas content, eh be ils se taisent, et ceux qui aiment bien, eh beeee ils le disent è_é

Je prend les critiques mais pas celle-là : "Beeuh, c'est nul ! C'trop pourri !" des critiques constructives ou pas de critiques du tout c'bien aussi



Un enfant nommé Maxime, étant en vacances chez sa grand mère Kathryn âgée de 64 ans et habitant dans les vastes plaines de Cania, montait les escaliers qui menaient au grenier. Une fois dans la pièce, il fouilla dans un bric à brac dans l'espoir de tomber sur un livre à lire racontant de palpitantes et extraordinaires aventures. Soudain, il glissa sur une vieille cape et son dos heurta le mur, un livre posé sur une étagère attachée au mur tomba et Maxime s'y intéressa. Le livre était noir avec des reliures dorées. Sa couverture était en peau de mulou et ses pages en peau de kralamoure. Sa curiosité étant piquée, il l'ouvrit et commença à lire :

Je me nomme Feiqua, je suis un feca ayant passé sa vie à faire partie de plusieurs organisations dans le monde de Brumaire. J'ai décidé après avoir été dans le monde de Warcraft ou plus communément appelé World of Warcraft, d'écrire dans ce livre ma vie entière, de ma naissance à ma mort en passant par tous les périples que j'ai bravé avec des compagnons plus différents les uns que les autres.

Naissance d'un feca

Je suis né au mois de Javian à la première lune. J'entends encore ma mère dire que le nom qui me sera donné est « Luqua », puis j'entends mon père dire que cela fait trop « futuriste » et qu'il préfèrerait « Feilune », puis ma grand-mère était intervenue et avait proposé « Feiqua Nouvelle Lune ». Le jour où nous avons quitté l'auberge et quand nous avons pris la route pour la maison. Je ne faisais que regarder car, venant de naître, je ne pouvais pas encore marcher ni lancer des sorts mais je m'imaginais déjà en train d'aider mes parents à ranger la maison, faire le ménage, couper du bois et tout le reste. La journée passa et la nuit tomba rapidement ; mes parents, exténués, firent de la soupe sur un bon feu et m'en firent manger : elle était délicieuse. Je leur fis un sourire et ils me sourirent à leur tour. Une fois le repas fini, ma mère me pris dans ses bras pendant que mon père transportait la paillasse -dans laquelle j'étais couché depuis le début de l'après midi- dans leur chambre, puis maman me reposa dedans. Les jours passèrent, c'était toujours le même rituel, mais au bout de 10 mois, je fis mon premier pas. Mes parents très contents, m'aidèrent à apprendre, puis au bout d'un mois d'apprentissage je marchais comme si je l'avais toujours su.

Un soir, j'entendis quelqu'un frapper à la porte, puis mes parents se levèrent pour aller ouvrir. Ensuite, j'entendis des voix s'élever de la pièce d'à côté, j'entendis une voix forte dire quelques mots dans une langue bizarre:
Et soudain une lumière bleu m'aveugla. J'ignore combien de temps est passé, mais lorsque j'ai ouvert les yeux j'étais sur une paillasse avec tout autour de moi, les décombres de ma maison encore en feu. Puis je vis des personnes qui se hâtaient vers la maison et jetaient de l'eau qui venait du fleuve en la transportant avec ce qu'ils pouvaient. Au bout d'une dizaine de minute, quelqu'un s'approcha de moi et me pris et dit : « Il y a un survivant ! Leur fils à ce qu'il paraît ! » Un homme s'approcha et dit : « Mais c'est Feiqua Nouvelle Lune ! Pourquoi n'est-t-il pas mort alors que son père et sa mère, eux sont brulés vif ?!
-Comment veux-tu que je le sache ?! Répliqua l'homme qui me tenait. Je n'étais pas là, comment puis-je le deviner...
-Oui c'est vrai, pardonnez-moi, monseigneur.
-Je vais le porter dans mon château, il y recevra des soins et nous essaieront d'en savoir plus sur cette histoire. »

L'homme monta sur une bête à deux pattes grasses et ayant une grosse tête, me posa sur ses genoux, et après m'avoir bien calé pour que je ne tombe pas, fit partir sa bête en direction d'une grosse demeure.
Au bout de quelques minutes de chevauche, je commençai à m'endormir, j'eus juste le temps d'entendre quelques mots avant de tomber dans un sommeil profond : « Ainsi donc, il est revenu perturber notre ère... Comme c'est malheureux, je les aimais bien moi, ces deux personnes, Inirial et Morenda. Comme c'est malheureux... »

Rp sympathique a lire.

Juste quelque critique :

- "ou pas de critiques du tout c'bien aussi " non ce n'est pas bien. Avoir une critique qu'elle soit bonne ou mauvaise et toujours utile et prouve que ton texte est lus, et en plus sa te fait toujours un petit truc a lire quand tu t'ennui

- Quelque fautes d'orthographe mais bon c'est pas du bwork non plus, j'ai dus en relever 3 ou 4 sur tout le texte. M'enfin bon, par les temps qui court il est rare d'en trouver si peut sur une ribambelle de mots pareil.

Voila se que j'ai a dire.

Ah non une dernière chose :

A quand la suite ?
Je suis curieux de savoir qui est se mystérieux personnage qui a zigouiller les parents du jeune "Feiqua nouvelle lune", mais surtout pourquoi Feiqua sort indemne de l'attaque du meurtrier? Est - ce parce que pris de peur il a activé son bouclier incendesant, le mystérieux personnage tenait - il a le gardais en vie?

(Vous le serez en lisant la suite des aventure de "Feiqua nouvelle lune" !)

Sinon bonne continuation a toi.

A quand la suite ?
Heuu.. Ben je sais pas, cette semaine faut que je refasse ma chambre, à tout les coups je vais la continuer au collège pendant les heures d'étude où j'ai rien à faire...

Les fautes, vu que sa va être publier dans le Brumag (enfin sauf si ils en ont un meilleur ma sa risque pas x) ) quelqu'un va s'occuper de me montrer mes fautes et je les corrigerais (j'éditerai mon message pour mettre la version corriger).

Une critique est ptet sympa à lire mais imagine qui vient de se faire jeter par sa copine, qui vient et qui lit les critiques qui disent que c'est une m**bip** et que son role play et c'est archi nul, il va se suicider x) Bon je dis pas que c'est le cas tout le temps mais voilà quoi è_é

Et le coup du feca qui sort indemne c'fait exprès pour vous faire poireauter ! MWAHAHAHA je suis diabolique !

[Bru]Feiqua a écrit:

Un enfant nommé Maxime, étant en vacances chez sa grand mère Kathryn âgée de 64 ans et habitant dans les vastes plaines de Cania, montait les escaliers qui menaient au grenier. Une fois dans la pièce, il fouilla dans un bric à brac dans l'espoir de tomber sur un livre à lire racontant de palpitantes et extraordinaires aventures. Soudain, il glissa sur une vieille cape et son dos heurta le mur, un livre posé sur une étagère attachée au mur tomba et Maxime s'y intéressa. Le livre était noir avec des reliures dorées. Sa couverture était en peau de mulou et ses pages en peau de kralamoure. Sa curiosité étant piquée, il l'ouvrit et commença à lire :

Je me nomme Feiqua, je suis un feca ayant passé sa vie à faire partie de plusieurs organisations dans le monde de Brumaire. J'ai décidé après avoir été dans le monde de Warcraft ou plus communément appelé World of Warcraft, d'écrire dans ce livre ma vie entière, de ma naissance à ma mort en passant par tous les périples que j'ai bravé avec des compagnons plus différents les uns que les autres.

Naissance d'un feca

Je suis né au mois de Javian à la première lune. J'entends encore ma mère dire que le nom qui me sera donné est « Luqua », puis j'entends mon père dire que cela fait trop « futuriste » et qu'il préfèrerait « Feilune », puis ma grand-mère était intervenue et avait proposé « Feiqua Nouvelle Lune ». Le jour où nous avons quitté l'auberge et quand nous avons pris la route pour la maison. Je ne faisais que regarder car, venant de naître, je ne pouvais pas encore marcher ni lancer des sorts mais je m'imaginais déjà en train d'aider mes parents à ranger la maison, faire le ménage, couper du bois et tout le reste. La journée passa et la nuit tomba rapidement ; mes parents, exténués, firent de la soupe sur un bon feu et m'en firent manger : elle était délicieuse. Je leur fis un sourire et ils me sourirent à leur tour. Une fois le repas fini, ma mère me pris dans ses bras pendant que mon père transportait la paillasse -dans laquelle j'étais couché depuis le début de l'après midi- dans leur chambre, puis maman me reposa dedans. Les jours passèrent, c'était toujours le même rituel, mais au bout de 10 mois, je fis mon premier pas. Mes parents très contents, m'aidèrent à apprendre, puis au bout d'un mois d'apprentissage je marchais comme si je l'avais toujours su.

Un soir, j'entendis quelqu'un frapper à la porte, puis mes parents se levèrent pour aller ouvrir. Ensuite, j'entendis des voix s'élever de la pièce d'à côté, j'entendis une voix forte dire quelques mots dans une langue bizarre : que le feu soir ! Feu, explose !
Et soudain une lumière bleu m'aveugla. J'ignore combien de temps est passé, mais lorsque j'ai ouvert les yeux j'étais sur une paillasse avec tout autour de moi, les décombres de ma maison encore en feu. Puis je vis des personnes qui se hâtaient vers la maison et jetaient de l'eau qui venait du fleuve en la transportant avec ce qu'ils pouvaient. Au bout d'une dizaine de minute, quelqu'un s'approcha de moi et me pris et dit : « Il y a un survivant ! Leur fils à ce qu'il paraît ! » Un homme s'approcha et dit : « Mais c'est Feiqua Nouvelle Lune ! Pourquoi n'est-t-il pas mort alors que son père et sa mère, eux sont brulés vif ?!
-Comment veux-tu que je le sache ?! Répliqua l'homme qui me tenait. Je n'étais pas là, comment puis-je le deviner...
-Oui c'est vrai, pardonnez-moi, monseigneur. 
-Je vais le porter dans mon château, il y recevra des soins et nous essaieront d'en savoir plus sur cette histoire. »

L'homme monta sur une bête à deux pattes grasses et ayant une grosse tête, me posa sur ses genoux, et après m'avoir bien calé pour que je ne tombe pas, fit partir sa bête en direction d'une grosse demeure.
Au bout de quelques minutes de chevauche, je commençai à m'endormir, j'eus juste le temps d'entendre quelques mots avant de tomber dans un sommeil profond : « Ainsi donc, il est revenu perturber notre ère... Comme c'est malheureux, je les aimais bien moi, ces deux personnes, Inirial et Morenda. Comme c'est malheureux... »

Np .

Fallait pas en faire autant, il y a déjà quelqu'un qui va faire se boulot x)

Et s'pas drôle ici y a pas la langue dont j'ai besoin pour les formules magiques ><

C'est très sympathique à lire, et le nombre de fautes ne gâche en rien la lecture et la compréhension. Juste un truc : comment Feiqua peut-il se souvenir de ses premiers pas et de ce qui précéda ? A moins de les écrire sur le moment (ce qui est impossible pour un nouveau-né), c'est que son enfance lui a été racontée, or, il n'est fait mention d'aucun personnage extérieur présent durant ces scènes. Comptes-tu l'introduire plus tard ? Pas du tout ? Ou est-ce le mystérieux meurtrier ? En attente de la suite.

C'est Très agréable a lire et j'ai pas vu une seule faute (faut dire que j'en voit jamais généralement)


Et puis c'est peut-être un génie le gosse, il se rappelle de tout tout tout ...

J'attends la suite avec impatience

Cross, tu sauras ptet dans la prochaine partie qui arrivera dans maximum 2 semaines (enfin 3 si je suis prové d'ordi pendant les week-end... mais sa n'arriveras pas )

Argh ! Pourquoi tant de mystères ? Pourquoi me tortures-tu ainsi ? Tu es un être maléfique et cruel Feiqua ><. C'est inhumain de me faire miroiter la suite sans me la dévoiler comme tu l'as fait. ><

Et hop, la suite ! Les parties sont pas très longues car j'ai l'intention d'en mettre un bon paquet...houpa, c'est ptet pas flemmardise...

L'Éducation

Lorsque je me réveillait j'étais sur une paillasse bien étrange, je n'étais plus sur de la paille mais sur de la soie, j'étais dans un lit. Vu que j'avais faim, je commençais à pleurer, une servante arriva quelques minutes plus tard, elle me versa du lait chaud dans la bouche et j'arrêtais de pleuré. Lorsqu'elle partit, j'essayais de me rendormir. Je n'en eus pas le temps car le seigneur de la région arriva, s'assied sur un tabouret à coté de mon lit, et dis :« Tu peux me faire confiance, j'étais un ami de tes parents, puisqu'ils ne sont plus là, je vais te donner une éducation et faire de toi mon descendant. » Puis, voyant que je fatiguais, faut dire que le voyage étais long, au moins 10 minutes, il me raconta une histoire pour m'endormir, cette histoire était une légende datant d'il y a 14 ans. Elle fut écrite par un prophète nommé Diractor en 626.

Je me réveillait quelques heures plus tard, un serviteur était assied à coté de moi en train de tisser un habit dont j'ignorais le nom, lorsqu'il vit que j'étais réveillé, il me prit dans ces bras et m'emmena dans les cuisines, là, il me donna à manger du lait et de la soupe. Il disait que sa faisait grandir et que sa allait me faire devenir fort, et que j'en aurais grand besoin dans les années à venir.

Pendant 10 années j'habitais au château du seigneur. J'appris à maitriser mes pouvoirs ainsi qu'à maitriser divers arme, dont l'arc où j'avais une maitrise certaine. J'allais souvent dans la ville, ma maison brulée avait été laissé là pour moi lorsque j'aurai l'age de décider de son sort. Tous le monde m'appelait Feiqua, le feca survivant des flammes, je m'y étais habitué. Mon maitre d'arme se nommait Ignirius, mon maitre de magie, lui, s'appelait Thuture. Ignirius était un iop, Thuture un feca. Mon cercle de puissance était au nombre 45 quand je postulais au clan de mercenaire Eynire. Je me fis passer pour Xelibor, je voulais être traiter en personne normal et non pas en pauvre petit qui as vu sa famille mourir en proie aux flammes et qui, à douze années de sa naissance cherche du réconfort. Je fus accepter et commençais ma formation pour devenir mercenaire.
Je fis divers formations, autant dans le domaine du Rôle Play, que dans le domaine de la médecine, que j'ai fait tout seul avec mes amis. Je ne citerai pas toute les formations car, bien que j'en ai envie, c'est confidentiellement mercenaire. Je n'excellai pas dans tous les domaines mais mes résultats étaient suffisant pour que je devienne mercenaire le 29 Juinssidor 639. Je participais aux évènement, mon premier était l'élection de Miss&Mister Printemps où je fus un des juges. Je ne cessais de m'entrainer pour devenir plus forts. Je maitrisais de mieux en mieux l'écriture amaknéenne. Dans le clan de mercenaire, je rencontrai des personnes sympathiques et intelligentes dont Alhugoo, Thutur, dont le nom me fis penser à mon ancien maitre de magie, Go-Dot, Fitz-chevalerie, et d'autre que je ne citerai point car la liste est trop longue. Je deviens boulanger et j'atteins presque le cercle ultimes dans ce domaine. Puis les kamas commencèrent à affluer vers moi et je devins plus lourd question kamas. Au bout de quelques semaines, mon affaire de pain marchait tellement bien que lorsque j'eus trois millions de kamas, je savais que c'était beaucoup pour un petit feca comme moi, je me rachetais des tenues qui me donnait l'air classe...

A suivre le 2 Maisial 640

Petit up, partie II terminé, normalement la partie III est pour demain

Et voilà la partie III, désolé d'avoir été long j'avais complètement zaapé. Et si c'est trop court désolé mais quand on l'écris à la mains et que sa fait quasiment 1 page et demi, (recto complet et verso à moitié) sa à l'air beaucoup plus long :/


Quelques mois plus tard, alors que je faisais route pour la maison des mercenaires, un homme croisa mon chemin, il était en plein milieu de la plaine et, un arc à la main, il me visait. Il me semblait un disciple de cra. J'invoquai mes armures juste à temps pour arrêter une flèche. Il continuait de m'envoyer des flèches qui ricochaient sans cesse sur mes boucliers, lorsque je fus à portée, je pris mon bâton tout en maintenant mes bouliers, je fermais les yeux, visualisait ma cible et lançait mon bâton. Le cra se baissa juste à temps pour que le bâton passe au-dessus de lui. Il se releva en souriant, encocha une flèche qui m'avait tout l'air explosive. Le renforçais mes boucliers et attendait. Pendant que le cra continuait d'emmagasiner de l'énergie pour percer mes boucliers, j'essayais une nouvelle technique apprise auprès de mes maitres. Je rappelai mentalement mon bâton, celui-ci assomma de cra par derrière en le frappant sur la tête puis revint dans ma main. Je descendais de ma dragodinde, Inirial, et me téléportai auprès du cra.

Je le regardai depuis plusieurs minutes lorsqu'il ouvrit subitement les yeux. Dès qu'il me vit, il prit deux dagues attachés à sa ceinture et m'attaqua. Ayant prévu son geste, je pris mon bâton et contre-attaqua, au bout de quelques minutes de combat au corps-à-corps, je désarmais mon adversaire et l'assommait pour quelques heures. Je remontai sur ma dragodinde et repartait en direction de la maison des mercenaires.

Lorsque j'arrivais à l'imposante demeure, il y avait une foule de personne rassemblé autour du panneau d'affichage. Je m'approchai et lut quelques mots :

Nouvelle guilde !
Le Club Sandwich !
Basé sur l'animation !
Recrute tout le monde sans aucun préjugé, aucune préférence !
Bontariens, brakmariens, brigandins, mercenaires !
Tous peuvent venir dans la demeure du Club Sandwich !

Astrub, Rue des guildes, Maison 1653


Pendant deux jours entiers je pensais à cette guilde. J'étais mercenaire mais je n'étais pas assez puissant pour exécuter les contrats. Je me cantonnai aux évènements organisé par les Eynire. J'essayais également d'aider à les organiser. Je repensais à mon premier évènement, élection de Miss&Mister Printemps 639.

Lorsque je me fus décidé à postuler, j'allais à la maison de la guilde. Je frappais et entrais. Je vis un bureau. Derrière le bureau était assied quelqu'un, un iop que je reconnus sans trop de difficulté... Ce iop, était un ami, il se nommait Alhugoo. Il avait été mon formateur pour une de mes formation et il était également mon supérieur. Il était également un vieil ami de Black Hole, ma précédente guilde dirigé par Lapocalypse-Juju, un très sympathique ecaflip, un ami aussi. J'allai devant le bureau, saluai brièvement Alhugoo, puis posa un parchemin devant lui. Je partais finalement grâce à une potion de rappel.

Après un long moment de manque d'inspiration voici la suite :


Quelques jours plus tard, je reçus un courrier par tofu voyageur. Il était scellé par le sceau du Club Sandwich. Lorsque je l'eus ouvert, je lus le message écrit par la main du fondateur, Alhugoo. J'étais accepté. J'avais rendez-vous à la maison de guilde pour me donner un poste. Lorsque je fus prêt, je partis à la maison en passant par l'étable pour prendre Inirial. Je passais par le parc lorsque je vis un parchemin accroché à un arbre. Il était rare de voir un arbre en si bon état après qu'un imbécile ait accroché un parchemin dessus. Je décrochai le parchemin, le lisais. Je fus interloqué par ce qui était marqué. Le clocher d'Astrub sonna et, me rappelant que j'avais un rendez-vous et que je risquais d'être en retard, je mis le parchemin dans un des sacs posés sur le dos de ma dragodinde et je filais à la maison du Club Sandwich. Sur ma route, les gens me lançaient des regards intrigués. J'arrivais devant la porte du Club quelques minutes plus tard. J'attachais Inirial à un poteau de bois de frêne et entrais dans la demeure. Lorsque Alhugoo entendit la porte d'ouvrir, il leva les yeux et lorsqu'il me vit, il me lança : « Eh ben c'est pas trop tôt ! Tu sais depuis combien de temps je t'attends ?!
-Non je l'ignore, lui répondis-je
-Eh bien moi aussi !
-Alors ne perdons pas plus de temps et dit moi ce que tu as à me dire... je suis pressé.. »
Alhugoo qui allait me dire quelques choses et avait la bouche ouverte la ferma et m'invita à s'asseoir devant son bureau et, une fois tous les deux assieds, nos commençâmes à discuté du poste que j'occuperais. Actuellement j'étais la seule personne à avoir postulé. Nous décidâmes donc que je serais le bras droit de Alhugoo. Je repartis chez moi une heure et demi plus tard. Chez moi je m'allongeais sur mon lit et réfléchissait à l'affiche que j'avais désormais en ma possession.
J'étais intéressé mais en tant que bras droit du Club Sandwich, j'ignorais si j'allais avoir le temps de me consacré à un journal. Je décidai donc d'attendre quelques temps afin de voir si le Club Sandwich allait me manger le plus gros de mon temps ou si j'aurai le temps de faire des articles pour le Brumag.

Depuis dix jours nous n'avions recruté que 7 personnes : Go-Dot, Thutur, Arkazz, Ewiz, Judgement, Atyriu et Papix. Judgement est parti quelques jours plus tard pour une raison inconnu. Cependant Thutur avait une idée qui n'était pas ordinaire. Il nous en parla et tout le monde après longue réflexion était d'accord. Nous nous engagions dans une aventure qui dépassait beaucoup le monde des Douzes.